Entreprises

Qui mieux que les anciens étudiants pour parler de leur école ?

Romain Lacassagne a fait partie de la promotion 2012-2015 de l’École de Gestion et de Commerce de Tarbes, avant d’intégrer un Master à Montpellier. À 28 ans, il travaille aujourd’hui pour un cabinet de recrutement à Bordeaux.

Quel type d’enseignement propose le BACHELOR EGC ?
Sortant du lycée Théophile Gautier (Tarbes) après le baccalauréat, j’ai été heureux de devenir étudiant dans une promotion de 15-20 étudiants, ça m’a permis une continuité avec un enseignement plutôt individualisé qui me correspondait bien, je me serais mal vu dans un immense amphithéâtre. Notre apprentissage des techniques de commerce est passé par de nombreux travaux pratiques, en groupe, des soutenances à l’oral ainsi que du partage d’expérience de la part des intervenants. Ainsi, nous avons vraiment pu découvrir les métiers du commerce, et nous y projeter grâce au bon accompagnement des enseignants et l’exigence d’une certaine assiduité. Nous avions des intervenants professionnels comme enseignants dans la plupart des cours. Ils s’adressaient à nous bien sûr comme à des étudiants, mais aussi comme à de futurs collaborateurs.

Aujourd’hui, quel regard portez-vous sur l’enseignement que vous avez reçu ?
Mon Bachelor EGC en poche, j’ai intégré le Master d’une école de commerce à Montpellier.

Très rapidement, j’ai réalisé que j’avais déjà un bon niveau grâce à mon bachelor de l’EGC, j’étais même très en avance dans des cours comme la gestion ou le marketing. J’ai pu poursuivre mon cursus dans le commerce avec aisance, avec en bagages des connaissances d’un excellent niveau et je me retrouve aujourd’hui à un poste auquel je n’aurais pas cru accéder avant mes 30 ans, chef de bureau pour le cabinet de recrutement Up Skills.

« Grâce à l’enseignement de l’EGC, je me retrouve aujourd’hui à un poste auquel je n’aurais pas cru accéder avant mes 30 ans. »

Trois mots pour résumer l’école ?
Je dirais d’abord taille humaine, parce que c’est très important pour la formation cette proximité avec les intervenants et les autres étudiants. Puis convivialité, parce que l’école favorise le rapprochement entre les promotions avec notamment des journées d’intégration, et des activités proposées par le bureau des étudiants. Et enfin professionnalisante, car pour être honnête, l’école m’a appris à être un adulte dans le monde du travail. J’ai découvert comment m’exprimer à l’oral devant des collaborateurs, me présenter, et même comment m’habiller sérieusement. Lorsqu’on sort du baccalauréat, on est encore un enfant. L’EGC m’a responsabilisé.